On ne forme plus que vingt à trente gynécologues médicaux chaque année, dès lors la question de l'accès direct aux gynécologues sans passer, au préalable, par le médecin traitant va se poser. Les femmes malades du VIH ont de grandes difficultés pour se faire suivre par un gynécologue. Les moyens consacrés à la recherche fondamentale sur le Sida sont trop faibles, à l'exception de ceux affectés à la recherche d'un vaccin.