a indiqué qu'il approuvait les conclusions des rapporteurs mais souhaitait que l'on aille plus loin en ce qui concerne les propositions présentées par le rapport. La question du niveau auquel doit se faire le pilotage de l'immobilier est déterminante : un pilotage national et centralisé s'impose. Nous avons une obligation de résultat dans ce domaine et il convient de trouver la méthode. Les ministères doivent réellement s'impliquer dans cette gestion et ne pas s'intéresser uniquement à la rétrocession de partie ou totalité des produits d'une cession immobilière.
Le Président Didier Migaud a noté qu'il convenait d'impliquer les ministères d'une autre manière et d'abandonner cette notion de retour financier dont pourrait bénéficier un ministère, notion qui a conduit aux résultats que l'on subit aujourd'hui.