J'ai assisté samedi dernier à l'hommage rendu à l'un des militaires tués dans l'accident d'hélicoptère qui s'est produit au Gabon. Il avait à sa charge deux enfants qui n'étaient pas les siens et, aujourd'hui, la famille connaît de graves difficultés matérielles. Je suis donc plus que jamais favorable à une clarification des textes concernant les ayants droit des militaires décédés.
Je tiens également à souligner combien la disparité est grande entre les mondes civil et militaire s'agissant de la reconnaissance des maladies liées à l'amiante.