Encore faut-il prendre en compte le niveau de diplôme à l'entrée dans les cadres. En outre, l'absentéisme est de plus en plus sanctionné par un refus de toute promotion – ce qui d'ailleurs me semble tout à fait normal. Il faut aller au-delà des chiffres.
Quant à raisonner en termes de quotas, cela ne me semble ni très pertinent ni agréable.
D'ailleurs, pour les scrutins uninominaux, il faut être lucide : on ne peut pas, au nom de la parité, exclure quelqu'un qui fait bien son travail sous prétexte que c'est un homme. En revanche, il n'est pas normal que la parité ne soit pas respectée au niveau des suppléants, qui sont majoritairement des hommes.