Dans le cadre de la réunion du groupe d'amitié France-Vietnam, un professeur de français, qui travaille dans un des lycées d'Hô-Chi-Minh-Ville, m'a expliqué que les moyens manquaient pour former les enseignants. Il souhaiterait que la formation des maîtres soit mieux accompagnée, en particulier sur le plan pratique. L'ambassadeur de France au Vietnam m'a également fait part du manque de moyens dont souffre la politique de formation. Il y va pourtant du développement de la francophonie et du rayonnement de la France dans ces pays. Au Vietnam, les jeunes apprennent plus volontiers l'anglais que le français.