, a répondu que la création d'un fonds ad hoc se justifiait sur deux points : les montants en cause, qui, s'ils peuvent être couverts par redéploiement de crédits lorsqu'ils sont limités, nécessiteront un abondement exceptionnel, par exemple en cas de survenue d'une épidémie de chikungunya en Corse, et d'autre part l'association éventuelle de tiers au financement de la réponse à une crise sanitaire, les éleveurs par exemple, s'agissant d'une épizootie de fièvre catarrhale.
La Commission a adopté les crédits de la mission Sécurité sanitaire.