s'est inquiété de la création d'un fonds de précaution face aux crises futures, qui devra être régulièrement apuré ou qui incitera à la dépense. Le décret d'avance récemment examiné par la Commission montre pourtant dans le cas de la réponse sanitaire à la fièvre catarrhale du mouton, qu'il est possible de se passer d'un tel fonds en opérant par simple redéploiement de crédits.