a souligné que les associations d'usagers considèrent que le plan présenté par Mme Anne-Marie Idrac, sans aucune consultation dans l'entreprise, n'est pas à la hauteur des enjeux. Depuis 2002, 16 000 emplois ont été supprimés et rien ne dit que les 1 000 emplois supplémentaires se traduiront par des créations, plutôt que par des réaffectations. Qui plus est, les 100 millions promis s'étaleront sur trois ans.
Dans la mesure où la sécurité des transports est une donnée essentielle, la réaffectation envisagée des personnels semble particulièrement difficile.
Le rapporteur a répondu que l'article 5 dispose clairement que les réaffectations se feront « conformément aux règles de sécurité en vigueur ».