a estimé nécessaire de ne pas négliger la question des ressources et des charges des départements, d'autant que l'implantation des réseaux peut intervenir non seulement sur des routes récemment transférées mais aussi sur des routes départementales de longue date. Il a rappelé l'inégalité de situation entre départements, rappelant que le Lot comptait, avant transfert, 25 mètres de voirie par habitant, dont 15 % en zone de montagne, quand les Hauts-de-Seine en ont 18 centimètres par habitant. Il a donc souligné la nécessité d'une péréquation qui ne doit toutefois pas remettre en cause le volontarisme de la politique de sécurité routière.