a confirmé que, alors qu'il y a quelques années la rémunération des dirigeants français était nettement inférieure à celle des dirigeants étrangers, la comparaison s'est équilibrée et penche même en faveur des dirigeants français.
La Commission a adopté cet amendement en fixant le plafond des rémunérations déductibles à un million d'euros par bénéficiaire.