a maintenu que la solution évoquée en cas de grève est pour le moins originale au regard du droit.
Le ministre a réaffirmé que ce qui est choquant, ce sont les inconvénients que subissent les plus faibles, ceux qui n'ont pas d'automobile et qui n'ont pas de relations pour les aider.
Le président Hervé Mariton a remercié M. Bussereau pour sa contribution à la discussion.