Comme c'est moi qui, la première, ai nommé un militaire à la tête de la gendarmerie nationale, je suis d'autant plus à l'aise pour vous dire que je ne souhaite pas que la loi en fasse une obligation. Pourquoi devrions-nous limiter l'éventail du choix, courant ainsi le risque de ne pas trouver quelqu'un à la hauteur de cette mission ?