À la suite de l'intervention de mon collègue Giacobbi, qui a évoqué la complexité de l'organisation des services et leur nécessaire coordination, que vous représentez aujourd'hui, je souhaiterais savoir qui, dans ce dispositif, est en relation avec les services étrangers, en particulier ceux avec lesquels notre pays a le plus intérêt à travailler sur les questions sensibles.
Ma deuxième question est très directe : quel est l'effectif des services français en Afghanistan et au Pakistan ? Vous n'êtes certes pas obligé d'y répondre, mais force est cependant de constater que, comme vous l'avez relevé à propos du Parlement en réponse à l'excellente question de M. Plagnol, les services français ont une culture du silence très différente de la conception démocratique dont font montre les pays anglo-saxons envers les citoyens et les représentants du peuple.