Notre mission se devrait de réfléchir à l'incommunicabilité de certaines archives.
La France ne compte-t-elle pas trop de commémorations ? L'enseignement de l'histoire n'en souffre-t-il pas ? Un nombre considérable de commémorations se sont en effet ajoutées à celles déjà existantes ces dernières années. Que l'on songe, pour la seule deuxième guerre mondiale, au Vel d'Hiv et la lettre de Guy Môquet. Comment peut-on enseigner une histoire se réduisant à des tronçons commémoratifs ? Quel peut être le rôle du politique en la matière ?