Que l'on impose un quota de 30 % de femmes au sein des conseils d'administration ne me paraîtrait pas choquant. À dire vrai, je pense que cela ne choquerait plus personne. D'immenses gisements de compétences existent, les chasseurs de têtes en sont convaincus, et ils n'auraient aucun mal à trouver ces 30 % de femmes.