a estimé que ce projet de budget ne mettait pas le ministère en mesure d'affronter des défis cruciaux. Il a regretté la désorganisation dont il a fait preuve dans la gestion de la crise de la fièvre catarrhale ovine et a souligné la nécessité d'une présence forte du ministre à Bruxelles, là où se joue largement l'avenir de l'agriculture française. Enfin, il a rappelé le devoir de vérité qui incombe au ministère sur des sujets qui préoccupent tous les Français, par exemple l'éthanol qui, de plus en plus, apparaît comme une impasse.