Il ne s'agit en ce qui me concerne ni de banalisation ni de confusion : précisément, c'est la profusion des commémorations qui risque d'entraîner une banalisation, de même que l'absence de hiérarchisation entre les faits passés induite par un usage touristique ou télévisuel de l'Histoire.
Par ailleurs, l'historien est également subjectif et chaque génération a sa façon d'écrire l'Histoire. Des idéologues peuvent aussi aller y chercher des valeurs ou des projets.