Il n'est pas possible de confondre l'histoire-recherche – dont font partie par exemple les études vendéennes – avec l'histoire-enseignement. Je ne pense pas qu'en cette dernière occurrence même le Parlement doive fixer un cap. Un changement de majorité devrait-il entraîner une modification des programmes ? Ce serait de très mauvaise politique. En revanche, c'est au législateur, avec les historiens, de définir la nature des cérémonies mémorielles afin de dessiner une mémoire nationale adaptée à notre époque.