Je tiens à rassurer M. Morin : si cette mission d'information a été créée, c'est parce que le législateur a besoin du travail des historiens et que ce dernier tient à lutter contre sa propre tentation, parfois, de vouloir écrire l'histoire. Non seulement nous comptons sur vous pour faire pièce à la légende nationale mais nous comprenons fort bien que l'histoire soit aussi composée de ce substrat subjectif inhérent à la personne de l'historien. Les parlementaires, quant à eux, ne peuvent qu'être modestes et à l'écoute. Nous agirons en respectant votre apport.