Les crédits destinés au soutien aux jeunes ne disparaissent pas et ne sont pas dilapidés : ils figurent dans la mission « Emploi », avec par exemple le soutien aux missions locales, au CIVIS ou au Fonds d'insertion pour les jeunes, ou dans la mission « Vie et logement », avec les crédits destinés aux points d'accueil et d'écoute des jeunes, aux contrats d'autonomie et au plan banlieue. Certains crédits sont en outre décentralisés, comme ceux de la protection des jeunes mineurs. Un document de politique transversale sur les jeunes pourrait permettre de suivre l'évolution de ces crédits d'une année sur l'autre.