a observé que l'on est passé d'un calcul sur les dix meilleures années à un calcul sur les 25 meilleures années. Au lieu de l'appliquer à tout le monde, ne pourrait-on adapter le système au bénéfice de ces femmes ?
Qui dit retraite dit vieillissement, dépendance et isolement. Ne pourrait-on imaginer, pour garantir l'accompagnement au-delà de la retraite, d'orienter le système de cotisations vers l'assurance dépendance ?