, après avoir souligné l'intérêt que représenterait une visite de l'université de Louvain qui regroupe industriels et scientifiques sur un même site, a insisté sur la nécessité de prendre en compte, dans le cadre du rapport, les aspects sociétaux du développement des nanotechnologies.
Rappelant que l'audition publique organisée par l'Office l'année dernière avait mis en lumière diverses inquiétudes sur ce point et que le Grenelle de l'environnement avait également abordé les risques liés aux nanotechnologies, il a estimé que si la recherche avançait très vite, la société se montrait de plus en plus réservée quant aux usages des résultats de la recherche et que le Parlement devait contribuer à apporter des réponses à ces interrogations.