a considéré que la position du rapporteur était encore plus prudente que l'abstention globale du groupe SRC, tout en soulignant que ce dernier souhaitait également que la répartition actuelle des pouvoirs entre le Président de la République et le Premier ministre en matière de défense ne soit pas modifiée. La garantie d'une suppression de l'article 8 pourrait contribuer à l'évolution du groupe socialiste vers un vote positif.
Le rapporteur a précisé qu'il était défavorable à l'adoption de l'article, ce qui constitue une position plus tranchée que la simple abstention.