a ajouté que la remise en cause éventuelle de l'article 16 pouvait être dangereuse en diminuant l'effectivité de la dissuasion nucléaire.
Le rapporteur a rappelé que le débat ne portait pas sur la suppression de l'article 16 mais bien sur l'encadrement de son usage, ce qui constitue indéniablement une avancée.