La première priorité est d'accroître le soutien humanitaire au peuple zimbabwéen. Sur le plan politique, il convient de continuer à exercer des pressions sur la SADC, l'UA et le gouvernement : le ZANU-PF, en l'occurrence, doit accepter les pré-conditions dont j'ai fait part afin de parvenir à la mise en place d'un gouvernement inclusif. À moins de changer de paradigme, sa politique restera suicidaire. Je suis néanmoins confiant car nous finirons par trouver une issue.