Lorsque le Conseil de sécurité a évoqué la situation du Zimbabwe, la Russie et la Chine, dont les positions ont sans doute évolué depuis lors, ont usé de leur droit de veto. C'est parce qu'il importe maintenant que cette crise revienne à l'ordre du jour de l'ONU que nous avons longuement insisté auprès du Secrétaire général sur la situation humanitaire catastrophique que nous connaissons et que nous appelons l'ONU à mettre en oeuvre le principe de la responsabilité de protéger qu'elle a récemment reconnu.