a précisé que le module obligatoire de ce type qui avait été créé à l'IUFM de Toulouse était également l'un des plus décriés et désertés par les étudiants qui affirmaient vouloir travailler sur les savoirs et non sur les comportements.
Elle a ensuite précisé que les métiers de soins étaient certes peu investis par les garçons mais seulement en ce qui concerne les tâches et les salaires les plus modestes. Ce n'est pas le cas pour les fonctions d'encadrement dans le secteur de la santé.