Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement :
Pour le deuxième porte-avions, 232 millions d'euros ont été consommés. Nous avons dû payer des droits d'accès au dossier des porte-avions britanniques, en avance par rapport au nôtre. Le reste de l'argent a été injecté dans l'industrie française.