Après la réussite de votre augmentation de capital, pensez-vous avoir écarté tout risque d'OPA ? On en a beaucoup parlé, et vous avez d'ailleurs été l'objet d'une tentative il y a neuf ans. À l'époque, vous disiez que 45 % du capital appartenaient à des fonds de pension étrangers et que l'indépendance avait pu être préservée grâce à l'actionnariat salarié, qui représentait alors 9 %. Qu'en est-il de la structure de votre actionnariat aujourd'hui ? Vous garantit-elle l'indépendance en cas d'OPA hostile ?