, a posé trois questions.
Rappelant qu'en France , comme en général en Europe, environ 20 % des malades atteints de cancer bénéficient d'un traitement en radiothérapie, revenant sur les récentes affaires d'Epinal et de Toulouse, en observant qu'elles avaient jeté l'émotion, y compris chez les professionnels, manipulateurs, ingénieurs physiciens ou médecins radiothérapeutes, qui ont tous évoqué la nécessité de protocoles qui pourraient prendre une dimension éventuellement opposable en cas de problèmes, pour s'assurer que la qualité de la délivrance thérapeutique soit garantie tout au long du parcours du malade, il a demandé quelle était la position de l'ASN à ce sujet.
Se référant aux registres diagnostiques et thérapeutiques tenus pour certains types de cancers, il s'est interrogé sur la mise en place de registres similaires pour le suivi des cancers pris en charge par radiothérapie, de manière à pouvoir mieux suivre les accidents à effet retardé.
Évoquant enfin les recherches conduites pour traiter de façon sériée et régulée les accidents de radiothérapie, il a souligné l'intérêt de la thérapie cellulaire utilisant les cellules mésenchymateuses, et s'est demandé si l'ASN suivait ce type de problématiques scientifiques.