a précisé que son propos se voulait général, et pouvait s'appliquer de manière plus ou moins différenciée à différents cas de figure.
S'agissant de la gestion du risque de chutes d'avion sur les centrales, il a indiqué qu'elle ne relevait pas du domaine de responsabilité de l'ASN, mais que celle-ci avait apporté son concours à l'entité en charge de traiter ce sujet, qui est le Haut fonctionnaire de Défense et de Sécurité du ministère de l'Economie, à travers une évaluation montrant que les centrales françaises résisteraient de façon tout à fait raisonnable à des chutes d'avions. Le principal risque associé touche à la résistance des installations à l'incendie qui s'ensuivrait. Ce dossier est traité avec la discrétion qui s'impose. M. André-Claude Lacoste a supposé que c'était ce souci de discrétion qui avait motivé l'intervention de la DST dans l'affaire évoquée précédemment.