Le 8 mars, vous avez eu une réunion avec la direction financière de Lagardère au sujet du prix. Vous considérez que c'est le début d'un mandat moral mais vous ne détenez pas encore de mandat écrit. À partir de ce moment, le dossier est examiné par les comités d'IXIS. A-t-on, à un moment de la procédure, posé la question d'éventuelles difficultés industrielles pour Airbus et de leurs conséquences sur l'évolution du groupe EADS ? Comme l'a relevé Michel Sapin, le principe de l'ORAPA est qu'il n'existe pas de clause de révision à la baisse. Le comité des risques a-t-il pris en compte cet aspect ?