Nous n'avons eu quasiment aucunes relations. Il existe, comme dans toute opération de type ABB, un document signé par Lagardère et spécifiant que, depuis le 8 mars – date, sauf erreur de ma part, de présentation des comptes annuels d'EADS –, le groupe Lagardère ne dispose d'aucune information susceptible d'avoir un impact significatif sur le cours. C'est ce qu'on appelle, en langage technique, les reps and warranties – représentations et garanties –, et c'est une procédure classique dans les opérations de cession de blocs. Les investisseurs chefs de file passent par nous pour obtenir cette lettre, que nous répliquons d'une certaine manière puisque nous garantissons également que nous ne disposons d'aucune information particulière susceptible d'influer sur le cours d'EADS depuis la parution des comptes annuels de ce groupe.