Je ne suis pas sûr que tous l'aient été, car la question à ce moment-là est encore de savoir si l'opération est faisable. L'idée est d'interroger quelques investisseurs afin de juger de leur réaction : si les quatre premiers répondent négativement à ce sondage, cela signifie que notre montage n'est pas le bon. Je parle de sondage car, je le répète, Lagardère a fait part, à chaque étape, de sa préoccupation de confidentialité.