Le club n'est pas si restreint. Nous sommes cinq en Europe. Parmi elles, ma société est la plus pénalisée parce qu'elle n'a plus accès depuis longtemps aux marchés de l'Agence spatiale européenne, étant un équipementier dans le pays des maîtres d'oeuvre. Sont favorisés l'Italien Officine Galileo, les Allemands DJO et Jena Optronik, enfin, DTU, une entreprise danoise qui est, en réalité, l'émanation d'une université et ne supporte donc pas les coûts de structure d'une entreprise.