a reconnu ne pouvoir s'expliquer une situation aussi invraisemblable, laquelle pouvait résulter d'une succession de petites erreurs, certaines alertes, par exemple, n'ayant pas été suffisamment analysées. L'enquête sur place devrait permettre d'apporter une explication dont la Société Générale elle-même est demanderesse.
Le Rapporteur général a rappelé qu'une grande partie des contrôles est automatisée, et qu'il faut donc, au-delà du contrôle automatique, un contrôle manuel, qui est irremplaçable.