a rappelé que M. le gouverneur n'a informé que quatre de ses collaborateurs. Faut-il déduire de la comparaison réitérée avec l'actualité récente en Grande-Bretagne que lorsque les pouvoirs publics sont informés la panique l'emporte et que lorsqu'ils ne le sont pas, la confiance est rapidement restaurée ?
Le niveau de fonds propres des banques et, en particulier, de la Société Générale, est-il suffisant au regard des risques de marché et de crédits ou des risques opérationnels ?
Cette crise aura-t-elle des conséquences sur l'offre de crédit en France ?
Enfin, M. le gouverneur avait été très rassurant, voilà quelques mois, sur les conséquences de la crise des subprimes. Le demeure-t-il aujourd'hui ?