Les trois membres socialistes de la commission Copé – quatre, avec notre collègue sénateur – l'ont quittée parce qu'ils y ont vu un subterfuge, une farce qui servait à amuser la galerie pendant que les décisions étaient prises à l'Élysée.
Du reste, dans cette affaire, ce que je comprends le moins, c'est que M. Copé ait accepté d'avaliser ce qui constituait pour lui une sérieuse déconvenue, voire un désaveu, puisque le projet de loi ne reprend nullement les propositions de la commission qu'il présidait.