L'État – et nous aurons à coeur de le confirmer au cours du débat – s'est engagé à compenser à l'euro près, selon une formule qui vous est chère comme à moi, l'éventuel manque à gagner. Les choses sont donc parfaitement claires.
J'ajoute que ces 450 millions d'euros sont destinés à compenser intégralement la perte de la publicité et en aucun cas à financer le développement de France Télévisions, lequel reposera sur d'autres recettes que nous aurons l'occasion d'évoquer.
Premièrement, le compte y est. Deuxièmement, j'ai répondu à toutes vos questions.