Monsieur le président, vous vous comportez d'une manière qui n'est pas juste, ni équilibrée, ni équitable. C'est la raison pour laquelle nous réagissons avec force.
Nous souhaitons que les débats puissent se dérouler dans des conditions honorables. Mais vous n'honorez pas la présidence de séance, alors que vous êtes le président de l'Assemblée nationale et que vous devez donc protéger la majorité et l'opposition. Or vous êtes en train de porter atteinte aux droits de l'opposition. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)