Cessons de pratiquer une politique de l'autruche qui n'a que trop duré, et regardons la crise en face – que dis-je, la catastrophe, car à galvauder le mot « crise », on en atténue la portée. La crise que nous traversons est une crise globale, une crise anthropologique, qui se décline dans tous les domaines de la vie, au premier rang desquels le climat et l'énergie.