Avant de commenter rapidement les articles de cette proposition, je voudrais m'arrêter quelques instants sur l'exposé des motifs, qui s'apparente plus à un tract politique distribué aux sorties de métro ou dans les marchés qu'à autre chose.
À vous lire, mesdames et messieurs du groupe SRC, la crise internationale n'est pas due aux subprimes, c'est la faute du Président de la République. (Exclamations sur les bancs du groupe GDR.)