D'abord parce que nous n'examinerons qu'une infime partie des mesures – et encore, sous forme d'amendements – annoncées hier par le Président de la République ; mais surtout parce que cette réalité est sérieuse et grave, et que les effets de la crise financière sont, hélas, en grande partie devant nous. Cela suppose une vraie politique de relance, une vraie politique économique. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)