Discutons. Même si M. de Courson est parti, je suis pour ma part tout prêt à profiter de ce débat pour discuter concrètement de politique économique, fiscale et budgétaire, argument contre argument. Mais, en réalité, vous préférez la méthode Coué.
Autre question à laquelle vous n'avez toujours pas répondu : y aura-t-il, oui ou non, une politique de rigueur et de nouveaux impôts – n'ayons pas peur des mots – après les élections municipales de 2008 ?
Comment allez-vous financer le déficit ? À cette question précise, vous n'avez pas davantage répondu.
Cette absence de réponses donne l'impression que vos discours ne s'inscrivent pas dans le champ du débat économique, fiscal ou budgétaire : on est dans l'idéologie, dans le symbole pur.