Dans ces conditions, il reste une marge de manoeuvre sur les dépenses de 5,5 milliards d'euros. Toutefois, deux postes liés au passé en absorberont, à eux seuls, les deux tiers : d'une part, les pensions, qui augmenteront mécaniquement de 2 milliards d'euros ; d'autre part, et ce phénomène nouveau doit nous conduire à réfléchir, les intérêts de la dette, qui progresseront de 1,6 milliard d'euros.