Ces dispositifs, qui constituent un outil fondamental pour l'agriculture de demain, ont peu de chance de fonctionner correctement sans un investissement important de la part de l'État. Les pollutions à la dioxine et les épizooties comme la fièvre catarrhale ovine ont montré la limite du système des aides dites de minimis cautionné par l'Union européenne.
J'aimerais, monsieur le ministre, que vous nous disiez sur quels éléments chiffrés vous vous êtes fondé pour estimer le coût des mesures et si vous envisagez leur éventuelle revalorisation.