Ce n'est pas une fiction, monsieur Peiro. Je suis ministre depuis deux ans et je me suis battu pour l'agriculture. Je connais bien la ligne de dérégulation parfois assez libérale de la Commission.
Lorsque j'étais commissaire européen, des confrontations avaient lieu au sein du collège, et les plus libéraux n'étaient pas toujours du côté auquel vous pensez – je ne citerai personne !