Et il s'agit ici d'un avenir proche : trois ans, plutôt que quinze. C'est l'avenir de la politique agricole tout entière qui est en jeu ; toutes les filières sont donc intéressées, y compris celles des grandes cultures qui devront continuer à être soutenues.
La profession agricole sait qu'il faut bouger. Monsieur le président Ollier, vous avez reçu en commission le président Lemétayer : c'est, je crois, ce qu'il vous a dit.