Monsieur le président, j'ai remarqué à plusieurs reprises dans le débat de ce matin que vous vous permettez de porter des jugements de valeur sur le contenu des déclarations de nos honorables collègues, particulièrement lorsqu'ils siègent du côté gauche de l'hémicycle, ce qui n'était pas le cas du président Daubresse hier.
Nous ne pouvons accepter une présidence partisane. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)