Nous avons évoqué cette question, monsieur Myard, car elle soulève un certain nombre de difficultés : les contribuables, en effet, font en quelque sorte une avance de trésorerie et se voient ensuite restituer la partie des impositions diverses et variées – pas seulement l'ISF, je le précise à nouveau – qu'ils ont été amenés à engager à tort compte tenu de l'application du bouclier fiscal.
Pour autant, il ne nous paraît pas souhaitable que le contribuable ait la faculté de limiter lui-même ses versements. Le système en vigueur doit, nous le souhaitons, continuer à s'appliquer.